Les Dhātu(s)


Dhātu signifie “ce qui soutient maintien, nourrit et supporte”. Les dhātu(s) sont les éléments qui soutiennent et nourrissent notre corps. On les considère comme “les tissus” de notre corps.


Ils sont au nombres de 7 et s’établissent dans l’ordre suivant :
Rasa, Rakta, Māṃsa, Meda, Asthi, Majjā, Śukra.


Chaque dhātu a une fonction particulière pour le corps et en se formant va produire un sous-tissus (Upadhatu) et des déchets (Mala). Nos dhātu(s) sont formés par notre digestion et chaque dhātu est interdépendant à l’autre. Si la digestion est mal effectuée sur le premier tissu, le tissu d’après en sera directement impacté.


Dans cette série d’articles nous définissons chacun des dhātu du corps et nous vous expliquons le rôle et les spécificités de chacun de ces dhātu.

 


(Français) La fertilité dépend de plusieurs facteurs : la digestion, le bon moment et la santé de Rasa dhātu et Kapha dosha.

(Français) Les douleurs articulaires ont plusieurs causes qu’il convient d’identifier pour proposer un traitement adapté.

(Français) Les parties du corps ayant des fonctionnalités similaires sont liées. Il convient donc de comprendre les liens entre les différentes entités de l’organisme pour offrir un traitement efficace.

(Français) Donc, pour les personnes de type Kapha, la chaleur doit être associée avec certaines substances :
-Lekhana qui gratte l’excès de Kapha remis en circulation
-Rūkṣa qui sèche
Le miel et le curcuma sont à la fois Lekhana et Rūkṣa.
Les plantes amères sont Rūkṣa.
Enfin, les plantes Vātanulomana, telles que le fenouil et la coriandre, permettent l’évacuation du Kapha détaché dans la bonne direction.

(Français) Ainsi, la cure de raisin est excellente pour Pitta Dosha qui va être pacifié et évacué par le Prabhāva du raisin.
D’une manière générale, le raisin agit sur les désordres de Pitta que sont la fièvre, la soif et les désordres du sang (Raktapitta).

(Français) Le terme « déchet » représente mal la réalité des Mala(s) qui sont en fait des éléments témoignant du bon fonctionnement de notre digestion subtile et grossière. Seul l’excès et la mauvaise évacuation des Mala(s) sont nocifs.

Carrello